Presse

Une presse élogieuse

2010 – Un maître des percussions et de la sonorité – Sud Ouest – Antoine De Baecke

2008 – Stage 5 Jours pour se découvrir

2008 – Le maitre des sons – Sud Ouest – Agnès Claverie

« Le musicien réveille tout ce qu’il y a de primordial dans l’art des sons ; mettant en lumière les circonstances de leur éclosion, il révèle et transmet également leur pleine richesse émotionnelle et spirituelle, avec une évidence qu’aucun traité ne saurait avoir. »

Luc Bourrousse – Sud Ouest – 22 mars 2007

« Le conservatoire, c’est l’école du savoir. Quant à moi, j’appartiens à l’école de la transmission. »

Boris Touleyrou – Le Républicain – 22 mars 2007

« C’est naturellement quand les instruments se mettent à vibrer sous les doigts virtuoses (n’oublions pas le batteur de jazz que fut d’abord le musicien, aux côtés de Bill Coleman…) de leur créateur qu’ils prennent leur vraie dimension, révélant tout un univers dont la plus grande richesse est peut-être la résonance intérieure qu’il fait naître. »

Luc Bourrousse – Sud Ouest – 28 février 2006

« À l’occasion de conférences illustrées se déroulant avec les enfants et les professeurs de l’école de musique de Gradignan (France, Gironde). Le mot pour lequel je me bats, c’est la différence. Je suis dans la transmission de l’héritage ancestral. Je n’apprends pas la musique… Jacky Craissac l’assure : il ignore avant d’entrer sur scène quelle musique sortira de ses maillets, des voiles de métal, des cloches tibétaines, des gongs et des tambours qui l’accompagnent. »

Gilles Guitton – Sud Ouest – 3 février 2006

2003 – Stage Rythmes et Sons

« Il est bien évident que le travail de Craissac a comme support l´élément rythmique, de plus il joue avec des fragments mélodiques, cependant il n’est pas rare que son jeu musical, lorsqu’il expérimente des successions de quintes et de quartes, reste pour ce qui est des composantes de tension, en retrait par rapport à l’aspect harmonique. »

Michael Rieth – Frankfurter Rundschau – Francfort culture – 3 juin 2003
Traduction en français
Original en allemand

« Cela fait maintenant quatre décennies que Jacky Craissac vit l’origine du son et du rythme. Le Français, anciennement batteur de jazz, crée ses propres instruments et corps sonores afin que ces miracles sonores emplis de spiritualité s’accomplissent. »

Boris Halva – Darmstädter Echo – 5 juin 2003
Traduction en français
Original en allemand

2002 – Stages Alchimiste de l’expression

2001 – CONCERT PORTO 2001 Soumis au son.jpg

« Jacky Craissac aspire, au travers de son travail musical, à l’universalité, plus créative et respectueuse. Rien d’étonnant alors à ce qu’il soit amené aujourd’hui à une collaboration inédite : l’écriture d’une « mélodie de sons » destinée à accompagner la pièce de théâtre « Dialoguer / Interloquer » de l’auteur chinois Xingjian Gao. »

Jean-Luc Gleyze – Sud Ouest – 19 octobre 1999

 « Ce voyage dans l’imprévu et l’insoumis, on le souhaiterait sans fin. »

Roch Bertrand – Point de Vue – Sud Ouest – 17 mars 1999

« La qualité et la beauté des matériaux – peau, bois, métaux – pourraient en faire des œuvres d’art. Le but est autre : l’objet est asservi au seul son. »

H. Pons – Sud Ouest – mars 1999

”À l’entendre tout est son, rythme et improvisation : Même lorsque j’étais batteur de jazz, j’ai toujours pensé que c’était le son qui comptait. Je n’ai jamais utilisé ni croquis pour mes instruments de percussions, ni transcription écrite pour ma musique, j’essaie de la vivre en état de gestation permanent. Les sons en appellent d’autres, c’est d’eux que naissent les formes et le choix des matières,” indique Jacky Craissac… C’est donc une alchimie de sons totalement originale, une invitation au voyage sensoriel que propose Jacky Craissac pour deux soirs au Molière. »

Valérie de Saint-Do – Sud Ouest – Bordeaux – 1 mars 1996

« La beauté des instruments est frappante, celle des sons qui en émane dès qu’ils sont frappés ne l’est pas moins. Il est stupéfiant d’entendre ainsi, sur tout le spectre de l’audible et peut-être au-delà la pureté d’un timbre qui ne va pas sans celle des harmoniques qui en font la richesse… Le voyage dans l’atelier convoque l’Andalousie de façon manifeste, des rythmes qui ne dépareraient pas dans une œuvre de Bartok ou de Stravinsky. Étonnante et belle « proposition » qui appelle le (ou les) partenaire(s). »

Point de vue – Philippe Méziat – Sud Ouest – mars 1996